Azali est obsédé par la communication et il est prêt à tout. Vous connaissez peut-être son obsession pour sa communication, il est allé jusqu’à recruter Ahmed ali Amir et à nommer son fils comme conseiller privé juste pour surveiller la communication de Beit-salam.
Plus de 30 millions de franc comorien sont mis à la disposition d’un service de communication parallèle chargé d’écraser l’opposition dans les réseaux sociaux. Des fausses informations sur des attentats, des accusations sans fondement contre des personnalités de la société civile, des attaques personnalisées contre Sambi et son avocat. Les pages Facebook chargées de la sale besogne sont nombreuses, Gnongo, Noir c’est Noir, etc…
Les faux profils Facebook sont nombreux également. L’objectif est de gagner du terrain dans les réseaux sociaux et d’attirer la sympathie des internautes.
Les images des bombes artisanales sont prise et diffuser sur l’internet sur ordre direct de Beit-salam, des images qui ne sont apparues que dans les pages Facebook du fils du président Azali Assoumani. Ces images ne devraient pas fuiter puisque ce sont des éléments de l’enquête. Le plus étonnant les bombes ont été neutralisées sans démineurs, le gouvernement connaissait-il la fabrication ?
Toutes les publications sont généralement sponsorisées(entre 400 et 1000 euros par campagne) pour mieux être visible aux Comores. Une campagne de propagande et de fausses informations dont seul Beit-salam connaît la recette.
Sans intérêts.