Après le président de la République dimanche passé à Marseille, c’est au tour de la présidente de la section administrative de la Cour suprême de faire l’objet d’une parodie de funérailles par la diaspora. Un faux cercueil et un faux cadavre sur les épaules des manifestants de Paris.
« Enterrement de la justice », tel est le message que disent vouloir passer ces comoriens qui battent le pavé depuis plusieurs semaines pour réclamer le rétablissement de l’Etat de droit.
Voila la conséquence, vous les interdisez de manifester aux Comores, Ils vont manifesté la ou la démocratie et la justice ne sont pas mort
On ne peut pas dire que cella grandit les auteurs, et encore moins la cause qu’ils prétendent défendre.
Tous autres commentaires ou réactions serait accorder plus d’importance à cet acte morbide,loin des valeurs démocratiques, républicaines universelles.
Je trouve ce geste envers une chargée d’une section administrative qui ne fait qu’obéir aux ordres édictés par la hiérarchie, assez déplacé et be correspond en rien, aux revendications des manifestants qui ont perdu toute notion objective. Cela démontre le manque de maturité et l’absence de fond dans les revendications avancées (démocratie, droit de l’homme, etc…)