Ne tuez pas Azali ! Les Comoriens veulent un procès

Opinion libre: Accident Cardio Vasculaire, malaise, crise, sorcellerie, tout ce que vous voulez; mais nous ne vous pardonnerons pas la mort d’AZALI par votre faute.

AZALI est gravement atteint et vous devez le prendre comme tel et lui assurer tous les soins au lieu de mentir à la population et faire semblant que tout va bien. J’ai peur que son pronostic vital soit engagé.
Malade depuis un bon moment, AZALI est secoué par la grosse gifle des députés et le corps a cédé.
Cet individu a commis des monstruosités en s’attaquant aux valeurs de la république, en piétinant les institutions avant de s’en prendre aux citoyens. Plus d’une centaine de prisonniers broient du noir dans des prisons qui ressemblent à tout sauf à des prisons.
Il a dénaturé l’homme et certains dans ces pâturages sous haute tortures, des êtres humains sont parqués comme du bétail et perdent le quart de leur poids chaque mois.
Le Docteur ALI MOHAMED doit prendre ses responsabilités étant le médecin traitant du dictateur ainsi que sa femme, son fils et son cabinet. Nous refusons d’être gouvernés par un malade assisté des menteurs.
Le communiqué de Beit-salam parlant d’un président pris par un malaise vagal et qui s’est assis aidé par ses gardes est une insulte aux milliers de spectateurs comoriens qui ont vu un président inconscient qui n’a réussit à rien faire pour éviter de tomber. Le garde le plus proche a juste réussi à éviter que la tête n’explose au sol.

Sauf si AZALI faisait semblant, ce qui n’est nullement le cas, je suis convaincu que l’homme est gravement malade. Il faut tout faire pour le faire bénéficier des soins à l’étranger et lui donner un repos d’au moins deux mois; et sous surveillance policière.
Le vice Président Djaanfar doit rentrer le plus tôt possible pour assurer la continuité de l’Etat; et pour baisser la tension sociale presque explosive, libérer les prisonniers politiques, arrêter et juger le régime, les magistrats corrompus et les responsables de la guerre meurtrière de Mutsamudu notamment les militaires qui ont commis les exactions.

BEN ALI.