
Le décès d’Ayman Nourdine, survenu alors qu’il était en garde à vue, suscite de vives réactions aux Comores. La Commission nationale des droits de l’homme et des libertés a réagi en appelant à une enquête approfondie pour établir les circonstances exactes de sa mort.
Selon les informations disponibles, le corps d’Ayman Nourdine a été découvert emballé dans des sacs, ce qui a choqué de nombreuses personnes. Les circonstances de sa mort restent floues, mais la piste d’un éventuel assassinat n’est pas écartée par la famille du défunt.
La commission nationale des droits de l’homme et des libertés insiste sur le fait que tout prévenu, accusé ou détenu doit être traité avec respect et dignité, conformément aux droits fondamentaux garantis par la Constitution.
La mort d’Ayman Nourdine est un rappel tragique de l’importance de respecter les droits de l’homme et de veiller à ce que toute personne détenue soit traitée avec dignité et respect. La commission nationale des droits de l’homme et des libertés a appelé à une enquête approfondie pour établir les circonstances exactes de sa mort et pour que les conséquences appropriées soient tirées.
Il est important que la vérité prévale dans cette affaire et que les autorités compétentes collaborent pleinement avec les enquêteurs pour établir les faits. Le décès d’Ayman Nourdine est une tragédie qui doit être pleinement examinée pour éviter que de telles situations ne se reproduisent à l’avenir.
La commission nationale des droits de l’homme et des libertés continuera de suivre de près cette affaire et de veiller à ce que les droits fondamentaux et les libertés publiques soient respectés. Les droits de l’homme sont universels et inaliénables, et il est de notre responsabilité collective de les protéger et de les défendre.
Bonjour,
Au moment où nos compatriotes africains,comoriens se font humilier,menacer et agresser en Tunisie , nous demandons au Nouveau Président de l’organisation Africaine d’intervenir très rapidement.Et nous attendons avec beaucoup d’impatiences son intervention
ABOUDOU