Tribune: LE GRAND FRÈRE BACAR NE PEUT ÊTRE LE DINDON DE LA FARCE DE LA DICTATURE D’AZALI …
Les propos de certains de ses fidèles soutiens interrogent. Bacar répondrait présent à l’appel du dialogue d’Azali pour aller défendre les accords de Fomboni et la constitution de 2001. Dans une sorte d’optimisme béat, ces partisans de Bacar annoncent la venue imminente de la confédération. Le sujet n’est pas de savoir si cette évolution institutionnelle est opportune ou pas. C’est la question de la faisabilité qui est cruciale. Comment un homme comme Azali notoirement anti-anjouanais organisant un dialogue destiné à le pérenniser au pouvoir, après avoir personnalisé et centralisé à outrance celui-ci peut-il laisser la place aux idées de Bacar? On nous accuse de vouloir pratiquer une dictature d »esprit (sic). Nous voulons juste poser des questions.
Ahmed Bourhane
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