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Liberté de la presse aux Comores : un défi croissant sous la présidence d’Azali Assoumani.

 

La Journée mondiale de la liberté de la presse est célébrée chaque année le 3 mai. Toutefois, depuis l’arrivée d’Azali Assoumani à la présidence des Comores en 2016, les conditions d’exercice des journalistes comoriens se sont nettement dégradées. Plusieurs journalistes ont été emprisonnés, tandis que d’autres ont été agressés par des autorités. On se souvient notamment du ministre de l’Intérieur ayant giflé le journaliste Oubeidillah Mchangama.

Cependant, l’avènement d’Internet a transformé l’information en un véritable pouvoir aux Comores. La censure a désormais moins de prise sur la liberté d’expression, permettant aux journalistes de contourner les restrictions et de continuer à informer le public. Les journalistes comoriens font preuve d’un courage remarquable en accomplissant leur travail malgré les pressions et les défis posés par les autorités, faisant valoir leur droit à la liberté de la presse.

Il est crucial de soutenir ces journalistes courageux et de sensibiliser le public aux enjeux de la liberté de la presse aux Comores, afin de garantir une information libre et indépendante pour tous les citoyens, et d’encourager la transparence et la responsabilité au sein du gouvernement.

ANTUF chaharane 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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