Malgré la note qui interdise le transport » illégal » en kwassa kwassa des gens et de leurs bien de Chindini vers Moheli et de Ouani vers Shindini, la population continue à s’aventurer.
Elle refuse de s’aligner à cette interdiction du ministère de l’intérieur malgré les naufrages. Des gens partent avec des lourds colis et avec des enfants. Ils refusent de laisser ce moyen de transport avant la création d’un autre par l’Etat.
La police et la gendarmerie n’arrivent plus à contrôler ce transport illégal. Et la mer continue à absorder certains passagers.
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