C’est l’hôpital qui se fout de la charité, comme le dit l’adage. Le parti politique de l’ancien ministre de l’intérieur Mohamed Daoud alias Kiki, l’homme qui avait déclaré en 2017 qu’il ne tenait pas compte ni d’une loi ni une constitution, dénonce, dans un point de presse tenu hier et relayé par nos confrères de La gazette des Comores, des » manquement graves à la constitution » en invoquant les positions partisanes de la coordination du dialogue d Azali notamment la fixation des thèmes à aborder et le fait que la dite coordination va proposition des projets de lois
» on ne peut pas rester indifférent face à des tels procédés et à des telles décisions qui ne sont pas de nature à rassurer les acteurs, à fournir toutes le garanties nécessaires à un dialogue véritablement inclusif et à promouvoir la confiance des acteurs » le porte-parole du Orange à La gazette des Comores
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