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Le militant panafricaniste Kemi Seba obtient un passeport diplomatique du Niger.

 

Kemi Seba, célèbre militant panafricaniste, a marqué l’actualité par son geste symbolique lorsqu’il a brûlé son passeport français devant une foule lors d’une conférence. Cet acte visait à dénoncer l’influence persistante de la « Françafrique » sur le continent africain. Aujourd’hui, l’activiste reçoit une reconnaissance notable de la part du Niger.

Dans une récente publication sur Instagram, Kemi Seba a annoncé qu’en réponse à la procédure de déchéance de sa nationalité française, le général révolutionnaire et visionnaire Abdourahamane Tiani, chef de l’État du Niger, accompagné des membres valeureux du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), a décidé de lui octroyer un passeport diplomatique. Ce geste est un témoignage de la reconnaissance du combat que mène Kemi Seba depuis 25 ans pour l’Afrique, souvent au péril de sa vie.

Le post de Seba souligne que son organisation non gouvernementale, Urgences Panafricanistes, bénéficie de partenaires solides et stratégiques à travers le Sud global. Il exprime son émotion de voir le gouvernement nigérien, qu’il qualifie de « plus révolutionnaire actuellement en Afrique », lui accorder cette protection et reconnaissance.

Seba attribue cette démarche à la volonté expresse de l’une de ses principales sources d’inspiration politique au niveau institutionnel, le général Abdourahamane Tiani, chef de l’État du Niger, ainsi que le général Mody. Cette initiative symbolise non seulement un soutien fort à son combat contre le néocolonialisme, mais également une affirmation de la solidarité panafricaine face aux pressions extérieures.

Cette reconnaissance diplomatique représente une nouvelle étape dans le parcours de Kemi Seba, renforçant sa détermination à lutter pour la souveraineté et l’émancipation du continent africain.

ANTUF Chaharane 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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