Après la publication de la note du ministère de l’intérieur plaçant Sambi en résidence surveillée, voici la première réaction du juriste Rafsandjani :
Un Président qui entérine une modification de la Constitution. En lieu et place du constituant…
Un préfet qui crée un délit de prédication. En lieu et place du législateur…
Le secrétaire général d’un ministère qui ordonne une mesure privative de liberté. En lieu et place du juge…
La République agonisante…
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