Le crime commis à Seleani continue de faire réagir. Le manque de respect envers les femmes comoriennes ne fait que choqué. La femme de Hadji Ahamada est pointée du doigt. Le corps d’une femme n’appartient pas à un homme. La femme a le droit d’être célibataire ou de se marier. La femme n’est pas l’esclave de l’homme, elle est son égale.
Voici, le témoignage d’un avocat comorien posté sur Facebook lors d’une audience en France. « Lors d’une audience au tribunal correctionnel de Nanterre, je représentais un conjoint poursuivi pour des faits de violences conjugales. Mon client qui reconnaissait les faits, a justifié son acte par la découverte de l’infidélité de sa femme. Le président l’a interrompu dans ses déclarations en ces termes : »parce que vous croyez que son corps vous appartient ? ». Le corps de la femme n’appartient qu’à elle-même », Said Hassane Said Mohamed, Avocat au barreau de Paris et de Moroni.
Il est important de ne pas utiliser la violence en cas d’infidélité mais de se remettre en cause et chercher la cause. Le manque d’affection des hommes, le manque d’échanges, d’amour….. et l’impuissance peuvent souvent être la cause d’une infidélité. Au lieu d’utiliser la violence gratuite, le divorce peut être la meilleure solution…
La femme de Hadji Ahamada n’est-elle pas une victime ? Saviez vous qu’une femme comorienne qui demande le divorce est très mal vue ?…
on a jamais souhaité la mort d un etre humain en ce qui concerne la réligion le mari a fait son devoir il a alerté la justice les notables en ce qui concerne de son action il a untilisé ce qui a ete dit pour saver l édution de ses enfants la question les comoriens sont des musulmans pratiquant dieu n a jamais autorisé les pechets surtout zina