
L’année 2018 a été marquée par plusieurs manifestations qui étaient organisées par l’opposition. Durant le bref passage de Abdallah Rafik, l’ancien commandant de la gendarmerie nationale à la tête de cette institution, aucun journaliste n’a été arrêté avec brutalité. Pendant les manifestations des vendredi, il mettait un dispositif pour sécuriser les journalistes qui couvraient ces manifestations. Les hommes des médias les filmaient sans aucune crainte.
Aujourd’hui, cet élan est brisé par le commandant Ramadhoine (alias matso yapaha). Les journalistes sont arrêtés brutalement et sans motifs. Il suffit qu’un gendarme voit un journaliste entrain de filmer pour que ce dernier soit emprisonné.
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