C’est un discours choc qui n’est pas passé inaperçu dans les réseaux sociaux.
Devant une centaines de fidèles à la mosquée, le mufti de la République a montré son souhait de voir tous les comoriens et les comorien-nes se ranger derrière l’actuel chef de l’État pour bénéficier la création des millions d’emplois qui obligerait les Comores à demander une laine d’oeuvre dans les pays voisins
» l’Arabie Saoudite est prêt à venir investir dans notre pays. Elle souhaite créer beaucoup d’entreprises. On pourrait même manquer une main d’oeuvre. On pourrait aller jusqu’à demander une main d’oeuvre dans les pays de la région. Il suffit de se ranger derrière Azali Assoumani » Mufti
Vous savez monsieur le prétendant Moufti? L’Arabie Saoudite que vous ventez n’est et ne sera jamais le Messi des COMORES. Ce pays mal intentionné reste la source des tensions religieuses qui rongent nos villes et villages. Durant des décennies, l’Arabie Saoudite a formé des centaines et des centaines des milliers des Imams. Ils sont retournés aux Comores un pays qui compte moins des mosquées que ces Imams, pire encore, aux Comores, ces derniers n’ont pas le moindre salaire mais juste un micro pour l’Adhan ou la prêche. Alors, comme tout le monde veut exister, des conflits et des tensions règnent au quotidien. Actuellement, les les jeunes ont compris ils n acceptent pas ces bourses d’Imam. Alors, pour satisfaire l’Arabie Saoudite, vous êtes (toi, azali et vos petits) obligés de sauver ces bourses. Peut être ça serait une occasion pour vous de faire revenir la raison car il vous en manque.
INNA LILLAH ! Ce Moufti est bien égaré, tellement perdu qu’il ne sait même pas son rôle et non plus ses missions. S’il veut faire la promotion de ce dictateur, il pourrait demander un portefeuilles ministériel. Il serait le bien venu chez son demi dieu. Un moufti digne de ce nom a son champ propre à oeuvrer : appeler le peuple et les dirigeants à respecter les lois et règlements conformément à notre religion. Alors, Monsieur le prétendant Moufti craigne ALLAH car ce bas monde n’est petit jardin non éternel.