Tribune: Après avoir été condamné à la peine capitale, Moyo wambwa n’attend plus que la date de son exécution. Un activiste des réseaux sociaux est contre son exécution: « La peine de mort est injustifiable et est inhumaine.
Je suis contre l’exécution de Mowambwa car il a quand même vécu 13 ans au côté de sa défunte épouse Amina et ont eu 2 enfants.
Dans cette union, il n’y avait pas eu que des querelles, il y a eu aussi de l’amour et beaucoup de concessions comme dans tous les couples.
Réfléchissez 2 secondes chère justice comorienne, chers compatriotes… 🤔 Et pensez à leurs enfants en bas âge qui ont déjà perdu leur mère, je vous invite d’imaginer le choc mental aujourd’hui dans un pays où sûrement, aucun psychologue ni psychiatre pour enfant si on leur annonce qu’en fait :
« votre père aussi avait été tué ».
Seuls soins qu’on leur donnera, c’est de l’eau coranisée. Passons, on connait cette chanson par cœur.
Certes, ce papa est un meutrier, a commis ce crime odieux par jalousie ( crime passionnel) parce qu’il aimait sa femme. PAPEDI vous a bien dit dans sa chanson MAHABA en connaissance de cause car il est le mze:
« MAHABA UHONDESA, UHUMISA, HWENDA HATA YAHUTOOWA MATSOZI ».
Sachez que partout où cette maudite « peine de mort » est appliquée, le système politique pratiqué, c’est la dictature.
Donc, que #Mowambwa croupisse et pourisse en prison, mais donnez lui la chance de voir ses enfants, de leur donner cet amour paternel que personne ne pourra leur fournir, ils comprendront peut-être un jour et le pardonneront une fois majeurs.
On peut dire tout ce qu’on veut ! aucun parent n’accepterait que son enfant soit tué quel que soit l’acte commis, même si le Chef de village de Helendje rapporte que « les parents du meutrier sont d’accord ». Mon œil!
D’ailleurs, cette justice de « peine de mort » chantée aujourd’hui par la cour et sous l’influence du barbu est pour moi plus politique que judiciaire. On l’a vu à l’époque de Taki où Taoufik de Hatsambou avait été exécuté sur la place Kalaweni de Moroni. Après, plus rien…
Tuer c’est tuer ! Executer Mowambwa c’est tuer aussi. À réfléchir… Car ce sont les mêmes juristes qui ont légitimé le mal, qui ont emprisonné des innocents depuis 2018 jusqu’à présent »
Zaki
Je ne sait pas exactement ce que tu défend, est ce le père tueur, les enfants orphelin de mère ou la pratique de la peine de mort ou juste dénoncer une politique ou une justice que ne marche plus. Ou encore un rendement de compte contre les barbus. Si la peine de mort est belle bien inscrit dans le code pénale, le pratique ne revient en rien d’une acte de dictature, c’est l’application de la loi en attendant des dispositions contraires. Parlant de l’amour paternel, mais de quel amour tu parle sachant qu’il passera sa vie en prison pour avoir tué leur mère, que va t il pouvoir leurs apporter à part leur rappeler la défunte mère et son barbarie. La peine est lourde, mais n’est ce pas ce que la charia au premier rang et le code pénale lui réserve. Quand au parent du tueurs l justice ne cherche pas à leur faire un cadeau, même si il ne sont coupable de rien, aucun parent n’aurait aimé voir son enfant sur le bcp des accusés mais c’est la vie il doit payer pourc e qu’il a fait ce « mericide » « foeutucide » si je peut me le permettre. Et puis d’ou vous nous parler de « PAPEDE », s’il vous plaît, soyez en sérieux, citer les droits humains, la constitution, la loi pénale mais papes. Pour ce qui est du suivie pshicqtrique je peu comprendre mais c’en est une chose et l’exécution de peine une autre, si vous voulez défendre une cause perdue derrière un chant sans chœurs libre à vous, mais pousser un peu plus loins votre argumentation pour qu’on puisse défendre la note. Mais sachez que derrière chaque decision de justice, derrière chaque peine infligé il ya dommages collatérales et des circonstance de causes. Et c’est ça la justice, elle ne peut contenter tout le monde neamoin doit rendre justice à la victime. Et espérons que on ne soit ni victime ni proche d’un victime a l’avenir.