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La gendarmerie aurait refusé d’arrêter Mamadou sans mandat d’un juge

Hier soir sur les réseaux sociaux, l’arrestation imminente de Mamadou, annoncée de son fief de Mbeni a fait oublier les coupures de courant à ceux dont la charge du portable tenait jusqu’au sommeil.

Ce qui est impossible de confirmer mais rapporté par plusieurs sources : Le ministère de l’intérieur aurait demandé à la gendarmerie d’aller arrêter Mamadou. Houla Houla non non et non des gendarmes. Où est la légalité dans tout ça. Pas de papier d’un juge ? Alors nous passons la nuit, la tête sur l’oreiller le képi sur la table de nuit mais pas de virée à Ikoni. Le ministère se tourne alors vers le GIPN, groupe d’Intervention de la Police nationale.

Confirmé : Entre temps des jeunes d’Ikoni s’organisent et montent la garde de la résidence du candidat en résidence surveillée. Le mot d’ordre est : eka Courou courou apvo Roho roho. Comprendre : des cœurs cesseront de battre avant qu’on prenne Mamadou.

Les jeunes postent des vigiles à Bonsami et à hauteur de l’Escadron de Mde pour surveiller les allées et venues des véhicules.

Confirmé : vers 22 h une voiture non identifiée, soupçonnée d’être conduite par des policiers, roule à Ikoni et Mde. Reconnaissance ?

Peu après 22h30 une camionnette du GIPN roule vers Ikoni, arrivée au marché, elle rebrousse chemin. Les occupants ont -ils été informés de la présence des jeunes prêts à en découdre, chez Mamadou. Ceux ci ont refusé l’offre de renforts de jeunes de Mbeni.

Selon un membre du premier cercle de Mamadou, les jeunes ont déclaré qu’ils ne s’opposeront pas à une décision de justice mais refusent l’arbitraire.

Hayba fm

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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