Aux élections du 24 mars, il n’y aura pas les observateurs de la communauté internationale. C’est la première fois où la communauté internationale refuse de prendre part à des élections aux Comores.
Aucune transparence, la sécurisation des élections n’est pas garantie. L’union africaine ne sera pas présente. La Ceni de Djaza sera seule à la manette.
Le financement des élections est fait uniquement par le gouvernement comorien. Ce qui a poussé le président Azali Assoumani à dire sur Rfi « qu’il gagnera au premier tour des élections car ça coûte cher d’organiser deux élections « .
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