Selon le ministre de la justice Mohamed Oussein Djamalilay, les maisons d’arrêt des Comores n’ont pas un prisonnier politique. C’est en réponse à une question sur la tenue des audiences des personnes accusées de tentative de déstabilisation de l’État ou de coup d’état que le ministre de la justice a nié la détention d’un prisonnier politique.
« Nous n’avons pas un prisonnier politique. Il y a des gens qui ont voulu déstabiliser le pays et ils sont arrêtés. Ils seront traduits en justice. La date a déjà été fixée mais je ne peux pas vous l’annoncer ici », Djamalilay sur ORTC
Les oeufs de vrai-faux patriote d’AZALI vont répondre devant une vraie justice de leurs actes le moment venu.Qu’ils en enrégistrent ce qu’ils disent aujourd’huit.Le jour J n’est pas loin.
Je crois qu’il n’y a pas un boutre de cent ans sur la mer.Sinon tous les boutres qui ont étés à Badjanani-Moroni sont tous disparus à jamais.