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Chef d’Etat major, commandant de la gendarmerie et les procureurs, accusés d’avoir reçus des biens dans une affaire de vente illégale

C’est une affaire qui risque de passer inaperçu pourtant elle est le signe du déclin de notre justice. Plusieurs jeunes d’Iconi ont invité les médias locaux dans une zone champêtre dont aujourd’hui les habitants se déplacent pour aller construire leurs maisons.

Ces jeunes ont accusé et dénoncé le mauvais comportement affiché par plusieurs haut gradés nationales pour mettre en conflit la ville d’Iconi:  » le procureur de la république, le chef d’Etat major, l’ancien procureur général Sako et certains juges ont reçu des { parterres } ici dans cette zone en échange de leur silence de ce qui se passe ici. Ces terres appartiennent à la ville d’Iconi mais certains se sont appropriés avec la complicité de ces hauts gradés dont nombreux ont déjà construits des maisons ici « , un jeune qui était présent aux micros de Dunia Web

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2 commentaires sur Chef d’Etat major, commandant de la gendarmerie et les procureurs, accusés d’avoir reçus des biens dans une affaire de vente illégale

  1. Si les allégations, portées sur l’ETAT MAJOR des armées et la justice comorienne sur le TRAFIC de terrains sont actées, il nous resterait à liquider le pays aux enchères publiques. Je pouvais, par naïveté, croire que la lâcheté de certains officiers supérieurs des armées, des magistrats comme du parquet (Dans son entièreté) sur des affaires politiques serait liée à une peur bleue de se voir licencier par notre cher dictateur mais hélas le mal est profond. Adjali ya KOMOR et sa clic prétendent disposer de la délégation du peuple souverain pour la gestion du pays mais exerce le pouvoir par la force et l’arbitraire. Un paradoxe que d’voir peur de celui qui vous aurait porté au pouvoir. Le peuple leur aurait accordé la présidence ha gwa ndzima ( plus de 63% ou 104,43% C pareil), donné l’assemblée nationale à 100% et en cadeau les communes au même taux mais sont terrifiés à l’idée que l’on puisse nous exprimer voir même penser. Ou alors parler pour adouber un pouvoir illégal et illégitime ou se taire pour éviter les exactions les plus animales, inhumaines, diaboliques et haineuses. Depuis les scrutins à 104,…%, et ceux qui n’ont pas eu lieu le 24 MARS 2019, la déferlante faucheuse s’est appropriée de l’espace publique. ADJALI ASUMANI BWANA SHARI va commencer sa présidence par la destruction de nos institutions. Démolition de la commission anticor ( histoire de valider les détournements de fonds à venir), égorger la cours constitutionnelle juste pour jouer avec la constitution sans arbitre, s’approprier des assises populaires qui ne devraient le regarder que pour une consultation et un avis, organiser un référendum dont la CRC et ses politicards moutonniers furent et les seuls juges et les uniques observateurs. Ce Présidaillon de 104% va franchir un pas que personne ne pouvait imaginer même dans des rêves. Son torchon de référendum lui aurait permis de bruler la maison dont le peuple lui aurait confié la gestion au même titre que ses vices présidents. Pas nécessaire de rappeler que sans la présence de ses vices présidents à ses côtés, le peuple n’aurait fait aucune confiance à cet individu. Le brandissement du corps, torturé, brisé, sans vie du feu APASH dans tout Moroni, sa fuite vers les toilettes de l’ambassade pendant que Bob DENARD occupait le pays, le retrait des questions de Mayotte à l’ONU contre la garantie d’un pouvoir éternel par la Françafrique, l’abandon à l’union Europeenne de nos eaux territorialles contre quelques millions d’euros à faire disparaitre sous le cadavre du feu commission anticor et l’acte de naissance de la pornographie et la pédophilie dans cet ancien pays musulman auraient suffit pour ne plus se souvenir de celui qui va se prénommer GOZIBI à juste titre. Le pays lui appartient. Une monarchie de la famille ADJALI BWANA SHARI. Et toutes ces forfaitures avec la complicité de ses camarades militaires avec qui il a fait le coup d’état de 1999. La corruption s’est installée aujourd’hui comme depuis 1999. Lorsque la meute ne trouve rien à grignoter de charnue, elle broute l’herbe. C’est ainsi que les chefs des forces chargées de la sécurisation des hommes et des biens se vendent contre des bouts de pains, les juges marchandent le droit contre tout, le parquet comme le ministère de la justice ordonnent selon le poids du gain et le citoyen corrompu et victime de ces malfaisants. Alors pas étonnant que notre ETAT MAJOR DES ARMEES, certains juges et procureurs se trouvent ensevelis sous les roches volcaniques de Malouzini et Hamboda IKONI dont un certain NASSUR prétend être l’unique propriétaire comme si il serait le seul Ikonien dont wo wamtsanuwa seraient les seuls rescapés du volcan ayant fait disparaitre l’ancienne ville d’IKONI. Devant des forces de l’ordre corrompues jusqu’aux dents, des magistrats vassalisés et monnayés, un parquet sans morale et un chef d’état portant mal son titre, il nous restera à mettre aux enchères le pays, rendre la liberté aux victimes d’injustice et reprendre la capacité à parler sans craindre les foudres d’AZALI et ses moutons de panurge.

  2. Si les allégations, portées sur l’ETAT MAJOR des armées et la justice comorienne sur le TRAFIC de terrains sont actées, il nous resterait à liquider le pays aux enchères publiques. Je pouvais, par naïveté, croire que la lâcheté de certains officiers supérieurs des armées, des magistrats comme du parquet (Dans son entièreté) sur des affaires politiques seraient liée à une peur bleue de se voir licencier par notre cher dictateur mais hélas le mal est profond. Adjali ya KOMOR et sa clic prétendent disposer de la délégation du peuple souverain pour la gestion du pays mais exerce le pouvoir par la force et l’arbitraire. Un paradoxe. On leurs aurait accordé la présidence ha gwa ndzima ( plus de 63% ou 104, 43% C pareil), donné l’assemblée nationale à 100% et en cadeau les communes au même taux mais sont terrifiés à l’idée que l’on puisse nous exprimer. Ou alors parler pour adouber un pouvoir illégal et illégitime ou se taire pour éviter les exactions les plus animales, inhumaines, diaboliques et haineuses. Depuis les scrutins à 104,…%, et ceux qui n’ont pas eu lieu le 24 MARS 2019, la déferlante faucheuse s’est appropriée de l’espace publique. ADJALI ASUMANI BWANA SHARI va commencer sa présidence par la destruction de nos institutions. Démolition de la commission anticor ( histoire de valider les détournements de fonds à venir), égorger la cours constitutionnelle juste pour jouer avec la constitution sans arbitre, s’approprier des assises populaires qui ne devrait le regarder que pour une consultation et un avis, organiser un référendum dont la CRC et ses politicards moutonniers furent et les seuls juges et les uniques observateurs. Ce Présidaillon du 104% va franchir un pas que personne ne pouvait imaginer même dans des rêves. Son torchon de référendum lui aurait permis de bruler la maison dont le peuple lui aurait confié la gestion au même titre que ses vices présidents. Pas nécessaire de rappeler que sans la présence de ses vices présidents à ses côtés, le peuple n’aurait fait aucune confiance à cet individu. Le brandissement du corps du feu APASH dans tout Moroni, sa fuite vers les toilettes de l’ambassade pendant que Bob DENARD occupait le pays, le retrait des questions de Mayotte à l’ONU contre la garantie d’un pouvoir éternel par la Françafrique, l’abandon à l’union Europeenne de nos eaux territorialles contre quelques millions d’euros à faire disparaitre sous le cadavre de la feu commission anticor et l’acte de naissance de la pornographie et la pédophilie dans cet ancien pays musulman. Le pays lui appartient. Une monarchie de la famille ADJALI BWANA SHARI. Et toutes ces forfaitures avec la complicité de ses camarades militaires avec qui il a fait le coup d’état de 1999. La corruption s’est installée aujourd’hui comme depuis 1999. Lorsque la meute ne trouve rien à grignoter de sanguine, elle broute l’herbe. C’est ainsi que les chefs des forces chargées de la sécurisation des hommes et des biens se vendent contre des bouts de pains, les juges marchandent le droit contre tout, le parquet comme le ministère de la justice ordonnent selon le poids du gain et le citoyen corrompu et victime de ces malfaisants. Alors pas étonnant que notre ETAT MAJOR DES ARMEES, certains juges et procureurs se trouvent ensevelis sous les roches volcaniques de Malouzini IKONI dont un certain NASSUR prétend être l’unique propriétaire comme si il serait le seul Ikonien.

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