Les images les plus choquantes montrent un gendarme qui, au cours d’une fouille, touche de manière inappropriée une jeune fille. Une autre photo montre le même gendarme effectuant un geste similaire sur un jeune homme.
La fouille des élèves est une mesure de sécurité obligatoire avant l’accès aux salles d’examen. L’objectif est de prévenir la triche en empêchant l’introduction de téléphones, écouteurs ou autres dispositifs électroniques. Bien que l’intention soit légitime, la manière dont cette fouille a été effectuée soulève de vives inquiétudes et fait débat.
Le point le plus troublant de cette affaire est la présence d’un gendarme de sexe masculin pour fouiller des jeunes filles.
Pourquoi n’y a-t-il pas de gendarmes de sexe féminin pour mener ces fouilles ? Les forces de l’ordre comoriennes disposent d’un personnel féminin qualifié qui pourrait accomplir cette tâche. Cette situation, qui aurait pu être évitée, a créé un malaise et a légitimé l’inquiétude.
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