Le président de l’Union des Comores Azali Assoumani vient de toucher la barre des 100 premiers jour de son mandat. S’il en fallait retenir quelques choses, on retiendra plusieurs décisions fortes qui font réagir.
Des décisions qui font jaser
Sa première décision a été de licencier plus de 2000 fonctionnaires pour des raisons politiciennes. En effet, ces derniers seraient considérés comme des recrutés politiques. Le président a enchaîné avec les retours de ses protégés du premier mandat à commencer par Mgomri à Comores télécom. Il a poursuivi avec la hausse des salaires de ses proches collaborateurs que d’aucun estiment au dépens des licenciés. Sans oublier ses multiples voyages et la fermeture des structures de santé et d’éducation qui appartiennent à l’Iran.
Des actes bienvenus
Malgré la déception de certains qui estiment que rien n’a changé sur le courant, l’eau et les infrastructures, d’autres décisions redorent l’image du président. On commencera par la baisse des produits pétroliers avec conséquence la diminution des frais de transports, la baisse des prix des denrées de première nécessité, la baisse significative du prix du hadj cette année et la réduction sensible des inscriptions à l’université et aux instituts nationaux.
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