
Opinion libre: On savait AZALI de séparatisme, de haineux, d’esprit communautariste, mais l’imagination ne pouvait supposer sa capacité à tuer de sang froid des personnes innocentes pour satisfaire son ego.
Sans dialogue ni médiation aucune, AZALI massacre les anjouanais, traumatise à vie les enfants de Mutsamudu et ses environs.
Au dela de cette drame qui a engendré des grosses pertes humaines et qui engendrerait d’avantage, c’est la germination de la haine dans toutes ses manifestations à plus long terme.
Les petits voyoux qui polluent la blogosphère par des déclarations alimentant une dialectique imbécile n’arrivent à faire la différence entre soutenir une idée et défendre une personne.
Des moins que rien qui trouvent des excuses et à fortiori des raisons à ces crimes prémédités et savamment orchestrés.
La valeur humaine ne figure pas dans le registre des opportunistes et partisans de la politique du ventre qui ne tiennent pas compte des nombreux cardiaques, hypertendus, de nos femmes, de nos mamans qui subissent la violence des armes, la peur de mourrir ou de perdre un fils.
En 48 heures, AZALI a fait une demie douzaine de morts, ce qui constitue une génocide dans une île de 424 kilomètres carrés.
L’après AZALI, car c’est d’un après AZALI qu’il s’agit désormais, doit reconnaitre les martyrs tombés pour la défense de leur pays et de ses valeurs. Une considération spéciale à ses hommes arrachés à la vie par la terrible volonté d’un individu qui ne regrette rien.
AZALI ne mérite aucune considération. Toute négociation avec lui est un insulte à ces nombreux morts fauchés par des crimes odieux.
Les comoriens doivent tirer les leçons et poursuivre AZALI et ses complices dans les tribunaux internationaux.
Comme HITLER ou BACHAR EL ASSAD, AZALI entre dans la liste noire des despotes sanguinaires de la période moderne.
Pendant que ses terroristes assassinent, en véritable Chef de bande, AZALI regarde dans une bonne humeur un macth de football et toutes les 30 minutes, le vice Président Moustadroine lui communique avec fierté les morts.
« Chef, Imam! tu vois que je suis un éternel fidèle et loyal, je t’offre deux tués dans ma région » semble dire avec humilité Moustadroine à Azali.
Kombo Ben Ali
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