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Alerte rouge : Rwaida prévient les bachelières 2024, harcèlement à l’université des Comores

 


 

Une ancienne étudiante de l’Université des Comores, l’artiste et chanteuse Rwaida, a récemment dénoncé le harcèlement sexuel que subissent les étudiantes de la part de certains professeurs. Dans une vidéo percutante, Rwaida commence par conseiller vivement aux nouveaux bacheliers de cette année d’éviter de s’inscrire à l’Université des Comores. Elle leur recommande de chercher des facultés à l’étranger, soulignant que si leurs moyens le permettent, ils devraient absolument s’inscrire dans une université hors des Comores.

Rwaida partage son propre vécu, expliquant qu’elle a été victime de harcèlement sexuel de la part de professeurs de l’université. Ses refus répétés auraient même eu des répercussions sur ses notes. Elle révèle également que certains étudiants peuvent être indirectement affectés par cette situation, car les professeurs harceleurs s’en prennent parfois aux étudiants qu’ils soupçonnent d’être en relation avec les étudiantes qu’ils convoitent.

Le harcèlement sexuel dans les universités n’est pas un phénomène isolé, mais plutôt un reflet des dynamiques de pouvoir et des normes sociales existantes. Dans de nombreuses sociétés, le statut et l’autorité des professeurs peuvent leur donner un sentiment d’impunité. La structure hiérarchique des institutions académiques peut souvent contribuer à une culture de silence et de peur, où les victimes hésitent à dénoncer leurs agresseurs par crainte de représailles ou de stigmatisation.

Il est crucial de comprendre que le harcèlement sexuel est une forme de violence basée sur le genre, qui perpétue les inégalités et les discriminations. Les étudiantes, en tant que groupe vulnérable, sont souvent les cibles principales, ce qui entrave non seulement leur droit à une éducation en toute sécurité mais aussi leur développement personnel et professionnel.

 

ANTUF Chaharane 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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