Les récents aveux de Nazra Said Hassani ont déclenché une tempête parmi les cercles d’autorité, soulevant une vague de mécontentement et de désir de représailles. Cependant, ces velléités de vengeance ont pris une tournure choquante alors que des informations circulent sur une tentative de la renvoyer en détention, ignorant les récents aménagements consentis après la naissance de son enfant, âgé à peine d’un mois.
Les autorités cherchent à faire revenir Nazra à la maison d’arrêt de Moroni malgré les dangers évidents que cela représente pour son nourrisson. Les conditions d’hygiène notoirement déplorables du lieu de détention pourraient s’avérer fatales pour ce petit être sans défense.
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Alors que le monde retient son souffle face aux conversations téléphoniques publiées sur comoresinfos entre le numéro 2 du service de renseignement, le capitaine Soilahou et Nazra, cela prouve l’implication de plusieurs personnalités du gouvernement et le pouvoir de Soilahou. Plusieurs enregistrements téléphoniques seront également diffusés sur comoresinfos dans les prochains jours.
Mais le fait que le numéro 2 du service de renseignement comorien soit impliqué dans une affaire aussi délicate soulève des inquiétudes majeures. Tout d’abord, cela remet en question l’intégrité même du service de renseignement, une institution censée garantir la sécurité et la fiabilité des informations au sein du pays. Lorsqu’un officier de ce rang est impliqué dans des actes potentiellement illégaux ou moralement répréhensibles, cela sape la confiance du public dans les institutions chargées de protéger la nation.
Mohamed Youssouf
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