Affaire du Conseiller : « Ce sont des lesbiennes qui ont fait ça à Said Ali Said Ahmed « 

3 commentaires sur Affaire du Conseiller : « Ce sont des lesbiennes qui ont fait ça à Said Ali Said Ahmed « 

1. Autant le dit intello, au boubou et bonnet blanc, insupporte, autant TENE BIRAHIMA OUATAR, le fils d’ADO à la chemise en fleur, semble en décalage avec le temps. Ne pouvaient-ils pas se la fermer en l’absence de propos cohérents? Ce qui met le pays à nuit n’est pas l’enfarinade mais les exactions commises sur le peuple par votre régime. La fable de jean de la fontaine ( le loup et l’agneau) est le parfait reflet de votre pouvoir de vie et de mort sur le peuple comorien. Puis l’autodafé illustre bien votre volonté de condamner les gens sans aucun motif et de fabriquer des preuves fallacieuses. C’est cela qui déteriore l’mage qui n’a jamais existé pour le pays. Il faut voir qu’aujourd’hui le monde est devenu un village. Tout se voit et se sait. Plus besoin des médias traditionnels pour se tenir informer. Aucun acte ou propos ne peut demeurer dans l’opacité. Alors les assassinats de Moutu, Nacer, Fayssoil, Gazon….. et autres restés sans procès suffisent pour votre biographie. Le lâche assassinat de BAPALE caractérise votre régime et dégrade votre image et non celui du pays. Les violes sur des BB comme sur des femmes et des hommes sans que justice ne soit rendue vous diabolisent. Puis mettre en détention des femmes et des hommes juste pour avoir parlé vous rapprochent de satan et vous éloigne de l’humanité. Pour le reste, il n’est pas utile de vous rappeler que ce n’est pas la farine versée sur certains d’entre vous qui salisse le pays mais la liste de vos exactions, haineuses, arbitraires, injustes, violentes et assassines qui actent, chaque jour un peu plus, le salissement des comores depuis le 29 mai 1978 et dont votre pouvoir détériore chaque jour davantage

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3. toi aussi tu es un pedé hommosexuelle

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5. La violence est une riposte d’une autre violence.
   En effet, la brutalité du régime dictatorial a conduit les citoyens comoriens à se faire justice. Le dictateur Azali a ouvert la voie vers un certain nombre de règlements de compte.

   Jamais on ne combat pas une dictature par la voie électorale mais plutôt par la violence.

   Mr vaut mieux gagner sa vie à la sueur de son front que faire la menche. Azali ne cesse de mendier auprès des Saoudiens. Nous faisons la plonge pour alimenter Azali.

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