Dans un taxi ce matin, un homme a exprimé son desespoir face à la montée surprenante des vols de nourriture aux Comores.
Le samedi dernier, sa femme était entrain de préparer du riz et un sauté au poulet pour sa petite famille, dans le quartier Malouzini à Moroni. Pendant un instant, elle est rentrée au salon et à son retour, les deux marmites n’étaient plus là, alors que le feu brûlait toujours (cuisine traditionnelle).
Elle s’est étonnée déja car elle n’est pas sûre que ce repas était bien cuit. Mais la grande désolation est qu’après l’acte, le voleur n’a pas eu l’amabilité de bien leur rapporté, au moins, les marmites.
La petite famille était obligée de dormir sans manger. Les enfants ont été privés de leur espoir quotidien. Pour, lui nous devrions surveiller nos cuisines, car nous ne sommes pas à l’abri. Ce sont des pratiques qui n’existaient point aux Comores.
Et au chauffeur de rajouter que, de nos jours même à la mosquée (la maison de Dieu), on se fait voler les chaussures, les portables ou encore les bonnets.
Qu’est-ce qui n’a pas marché ?
Source: Sur les traces de la culture comorienne
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