C’est une première dans l’histoire des Comores. Des jeunes issues de la diaspora comorienne en France ont abandonné leur famille, enfant et leur travail pour se rendre aux Comores et pour manifester contre la dictature.
Ils incarnent aujourd’hui, le visa de la résistance contre Azali. Ils n’ont pas d’ambition politique.
Pendant que les vieux loups de la politique se sont réfugiés en France et passent tous les dimanches à danser à la place de la République et à Marseille, les jeunes du mouvement Mabedja ont posé la première pierre. Ils se sont rendus aux Comores, c’est un geste héroïque.
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