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Une élue française qualifie le président des Comores et de l’Union africaine d' »assassin » et de « dictature finie ».

Mylene Deroche/IP3 - Member of Libertes, Independants, Outre-mer et Territoires group Estelle Youssouffa, speaks during a session of questions to the government at The National Assembly. In Paris, France, on November 22, 2022. (MaxPPP TagID: maxnewsfrfive071075.jpg) [Photo via MaxPPP]

 

Dans un récent incident, l’élue française Estelle Youssoufa a insulté le président de l’Union des Comores et de l’Union africaine en le traitant d' »assassin » et de « dictature finie ». Cette situation a entraîné une vive controverse en raison du caractère inapproprié de ces propos venant d’un représentant de la République française envers un dirigeant étranger.

Il est à noter que ni les membres du parti au pouvoir ni les ministres du gouvernement n’ont réagi face à cette insulte qui dépasse les limites du convenable. De même, le gouvernement comorien et les instances de l’Union africaine sont restés silencieux.

L’absence de réaction officielle soulève des questions sur la manière dont cette situation sera traitée, et met en évidence l’importance d’un discours respectueux et constructif entre les nations. 

Antuf chaharane 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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