
Pendant que la société civile et politiques s’indignent et que la population appellent au renforcement de la lutte contre le vi0l, le Juge Ali Yamani et ses confrères magistrats, quant à eux, s’activent pour faire monter les enchères de la « liberté provisoire » au profit des violeurs. Chacun ses priorités, direz-vous.
Le vi0leur d’un jeune d’à peine douze ans a été libéré en échange de 250.000 francs aux mois de juin. C’est le juge Ali Yamani, en personne, qui a proposé cette somme aux familles de l’accusé.
Plusieurs autres violeurs ont également profité du « outchoïsme » des juges comoriens pour se «faire la belle».
Un mandat d’arrêt a récemment été lancé contre un «fundi vi0leur» ayant bénéficié de la liberté provisoire quelques semaines auparavant.
Réagissez à cet article