Alors que l’un des premiers décrets du chef de l’Etat était de dissoudre la commission anti-corruption, le gouvernement en collaboration avec le groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest se moque des comoriens en organisant un atelier sur la lutte contre le blanchiment des capitaux.
On se demande comment on peut supprimer la seule organisation qui pourrait contrôler les corrupteurs ? Sans une vraie volonté de lutte contre les malfaiteurs de la part de l’État, les ateliers se succéderont sans pour autant donner les résultats souhaités.
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