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Omar et Attiki, une connexion pour libérer les violeurs et détruire le barreau de Moroni

Quelques heures après la tenue , à l’hôtel Retaj, de l’assemblée générale des avocats inscrits au barreau de Moroni, un membre du conseil de l’ordre désavoué a regretté que les avocats réclament une indépendance. « Dire qu’une institution étatique est indépendante est un mensonge. Le parquet général et la cour d’appel ont un rôle à jouer sur le bon fonctionnement du barreau de Moroni », Me Attik.

Ce dernier voulait justifier le prolongement de leur mandat par la cour d’appel de Moroni. Durant une intervention de 8 minutes diffusée sur la page Facebook de Hayba fm, Me Attik n’a cité aucun article justifiant ce prolongement illégal. Un mea-culpa. Attik a profité sa connexion de libérateur de violeur avec Omar Ben Ali pour violer la loi qui régit la profession d’avocat aux Comores. Pour la petite histoire, Me Attick est le seul avocat qui s’est rendu à la maison d’arrêt de Moroni pour faire évader un violeur d’une fillette de 6 ans. Omar Ben est aussi le libérateur du violeur de la fille de 11 ans de Tsidje. Une connexion qui marche bien

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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