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Meurtre de Djamlati Hassani : La ministre exige un procès rapide et une justice ferme face aux violences faites aux femmes

Les tensions sont palpables et l’indignation grandit face à l’augmentation alarmante des violences faites aux femmes. C’est dans ce contexte que la ministre chargée de la Promotion du genre, Fatima Ahamada, a pris la parole le samedi 26 juillet, depuis les locaux de son ministère, pour condamner avec la plus grande fermeté le meurtre de Djamlati Hassani, survenu le jeudi 19 juillet à Itsinkudi, dans la région de Washili.
Un appel pressant à la justice et à l’unité
La ministre a présenté ses condoléances à la famille de la victime, rappelant que la lutte contre toutes les formes de violences basées sur le genre est une mission centrale de son ministère. Face à cette « situation alarmante », elle a vivement exhorté les autorités judiciaires à « instruire rapidement les dossiers liés aux violences basées sur le genre », soulignant l’urgence de « déterminer le sort de ces personnes-là » afin d’éviter toute escalade et de calmer les tensions. « La population doit être convaincue que justice est rendue », a-t-elle insisté.
La paix en péril et la lutte contre la délinquance juvénile.


Fatima Ahamada a également mis en lumière la nécessité de restaurer un climat de paix sur l’ensemble du territoire national. Elle a déploré la montée des actes de violence et de délinquance, affirmant que « la paix est une des richesses du pays et que nous devons la préserver. »
Pour contrer cette tendance, la ministre a interpellé les autorités villageoises, communales et préfectorales à renforcer collectivement la vigilance et la lutte contre la délinquance juvénile. « Ce combat doit être mené collectivement. Nous devons veiller à ce que nos villes restent des espaces sûrs pour toutes et tous », a-t-elle déclaré, soulignant la douleur de voir un proche victime de violence.


Une délégation du ministère s’est rendue au village natal de Djamlati Hassani pour témoigner de la solidarité du gouvernement. La ministre a conclu en exprimant l’espoir que « les coupables seront jugés dans les meilleurs délais », insistant sur la dignité et le calme de la famille de la victime dans l’attente de la décision de la justice.

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En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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