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Mayotte : un vaste réseau de prostitution démantelé, seize interpellations dans la nuit du 7 au 8 septembre

This handout picture released by French Gendarmerie on October 19, 2009 shows illegal immigrants being intercepted at sea by a French Gendarmerie, on May 6, 2009. France is strengthening its border controls against illegal immigrants sailing on fishing boat, locally known as "kwassa-kwassa" -- wooden-hulled boats with outboard motors made in the Comoros -- trying to reach Mayotte, which has a stronger economy. AFP PHOTO / GENDARMERIE NATIONALE

Selon les informations de Mayotte la 1ère, Mayotte a été le théâtre d’une importante opération judiciaire dans la nuit du 7 au 8 septembre. Seize personnes ont été interpellées lors d’une série de perquisitions menées sur plusieurs communes de l’île, dans le cadre d’une enquête visant un réseau présumé de prostitution et de traite d’êtres humains.

Les forces de l’ordre ont saisi 5 875 euros en liquide, un véhicule, cinq moteurs de bateau ainsi qu’un pistolet d’alarme et un taser. Selon les autorités, ces éléments viennent renforcer les soupçons sur l’ampleur et l’organisation de ce trafic.

L’affaire, placée sous la responsabilité du procureur de la République, Guillaume Dupont, avait été ouverte en début d’année. Elle cible un réseau soupçonné d’exploiter des femmes originaires de Madagascar, notamment dans les communes de Chirongui et de Chiconi. Les faits remonteraient à 2024 et les enquêteurs estiment que plus de 207 000 euros auraient été blanchis par cette filière.

Au total, douze des suspects interpellés ont été mis en examen et la majorité placée en détention provisoire au centre pénitentiaire de Majicavo. Les investigations se poursuivent pour déterminer l’ampleur exacte du réseau et identifier d’éventuelles ramifications hors du département.

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En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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