Après quelques mois de tensions, on assiste à une normalisation des relations entre les Comores et la France, particulièrement depuis la rencontre du 23 août à Paris, entre les deux ministres des Affaires étrangères, respectivement Souef Mohamed El-Amine et Jean-Yves Le Drian. Deux importantes missions sont ainsi attendues ce mois de septembre à Moroni pour marquer officiellement ce dégel de la coopération bilatérale.
L’heure est à la décrispation des rapports entre Paris et Moroni après quelques mois de tensions. Le gouvernement comorien s’en tient toujours à sa circulaire du 21 mars, interdisant aux compagnies maritimes et aériennes d’embarquer les Comoriens expulsés de Mayotte mais les deux pays redynamisent les discussions de façon constante pour une normalisation de leurs relations.
Unis par l’histoire et des liens très forts, notamment la présence d’une importante communauté comorienne en France, les Comores et la France ne pouvaient pas se regarder indéfiniment en chiens de faïence et ont donc décidé de donner une nouvelle impulsion à la coopération bilatérale.
C’est ainsi que deux importantes missions de travail sont attendues ce mois de septembre aux Comores. L’une, conduite par l’ancienne ministre Dominique Voynet, bien connue des Comoriens de la diaspora, se penchera sur le secteur de la Santé, notamment l’opérationnalisation de l’hôpital de Bambao-Mtsanga à Ndzuani.
Le seconde sera dirigée par le directeur Afrique de l’Agence française de développement (Afd).
L’autre signe de cette décrispation en cours entre les deux capitales est l’octroi, cette semaine, de plus d’une centaine de visas aux étudiants comoriens désirant poursuivre leur cursus universitaire en France. Pour rappel, Paris avait jusqu’ici suspendu la délivrance de visa aux passeports comoriens suite à la circulaire du 21 mars citée en haut.
Nouveau cadre
Ces avancées majeures sur la voie de la normalisation des relations franco-comoriennes sont le fruit de l’entretien, le 23 août dernier à Paris, entre le ministre comorien des Affaires étrangères, Souef Mohamed El-Amine, et son homologue français, Jean-Yves Le Drian.
Par rapport aux «expulsions» opérées ces derniers jours dont le journal Al-watwan a fait état dans sa dernière livraison du vendredi 14 septembre, une source du ministère des Affaires étrangères a rappelé que «le gouvernement comorien, par une note signée par le ministère de l’Intérieur, avait accordé une dérogation pour les ressortissants comoriens à Mayotte ayant exprimé leur volonté de rentrer». Et d’ajouter que «cette dérogation reste toujours d’actualité. Les mouvements constatés ces derniers jours correspondent à ce type de passagers».
Il faut dire qu’après la rencontre, en France, entre les deux parties, les discussions vont se poursuivre à New-York, en marge de l’Assemblée générale des Nations unies. Il s’agit pour les gouvernements comorien et français de définir un nouveau cadre de coopération qui tienne compte de l’ambition du président Azali Assoumani de faire des Comores un pays émergent à l’horizon 2030.
Maoulida Mbaé / Alwatwan
C’est de la foutaise de gueuele. Tout cela pour arriver là ! de la poudre aux yeux ; une délégation sans pouvoir qui vient tâter un terrain vague qu’est le secteur de la santé avec ses insuffisances (des moyens matériels inexistants, des médecins d’operette avec des diplômes fantomes) et une Agence française qui octroi des financements de projets dont une bonne part est détourné par ces politiciens. En attendant, les étrangers comoriens de Mayotte sont voués à eux même avec le blocage du service de la Préfecture par une bande de racistes (payés pour cela), des étudiants comoriens à Mayotte en rade sans issue. La politique d’Azali est incohérente et ridicule
Des étudiants étrangers originaires des Comores se retrouvent bloqué à mayotte à cause du gouvernement comoriens . Pourquoi les médias comoriens n’en parle jamais.
Forte communauté comorienne en france!
Croyez-vous que c’est au désir de la france d’acceuillir ces malfrats dans son territoire?
Je savais que le petit Amine et le colo boufferont leur chapeau.
Bientôt le colo va être reçu par Macron à l’Elysée et c’est tout ce qu’ils les intéressent point barre.
Leur soit disant détermination des derniers temps n’étaient que des bouderies infantiles de deux gosses qui voulaient avoir leur goûter.
La vraie justice les attend avec leur acolytes le grand jour pour les juger sur toutes leurs trahisons ainsi que sur la dictature qui ont installée ce dernier temps dans notre cher pays.
Cette fois ci, il ne s’échapperons à leur responsabilité.
Si la dernier fois le petit Amine s’est caché en France pendant 10 ans, cette fois ci il les fera en prison.
« Ngari djo ulipva kiswa »
Vous le gouvernement comorien vous n avait pas de coeur libert la reconduite à la frontière mes vous ne sai vraiment la vie qu’on mene ici en se moment des étudiants qui sont fait tous leurs scolarité à Mayotte metnan il sont coincés et tout sa ce acause de vous,
Ah! encore un nouveau cadre de coopération. Je pense franchement que nous sommes incurables ou nous raffolons d’un plat qui s’appelle « radotage ». Quarante trois ans on nous sert la même chose. Coopération bilatérale ou des actions en faveur de la santé. Le problème c’est peut-être le fait qu’il manque le dessert. Seulement entre les deux plats que j’ai cités plus haut je ne connais pas l’entrée ni le plat de résistance. Bientôt nous rentrerons dans les annales pour les « nuls à tout ». Le rêve est un aliment gratuit. Continuons à le consommer et nous nous en sortirons un jour. BON RÊVE CHERS COMPATRIOTES.
Alwatwan , vous ferez mieux de laisser vos plumes pour aller faire la plonge en France , car vous faites honte du métier du journalisme , que Dieu vous puinisse severement pour le reste de vos misérables vie de mendicité.