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Lettre ouverte à la jeunesse Agoi

[Tribune]Patriote convaincu, je suis avec la plus grande attention à l’implication sérieuse et osée des jeunes hommes et femmes autour d’ABDALLAH ABDOU HASSANE dit AGOI et je vous exprime toute mes félicitations.Je vous aime.
Notre pays est en agonie et le dictateur AZALI plonge dans le fanatisme politicienne du machiavélisme azalien.
Il a fait de mourir au pouvoir quoi qu’il arrive.
L’espoir de ce pays est aux mains de l’unité des fils de ce pays.
Je salue votre énergie et vous invite à tenir bon.

AGOI se sacrifie pour la marche vers la liberté de notre peuple, mais il a besoin d’un cadre de retenu, de responsabilité et surtout de capacité à écouter la voix de la majorité.
La jeunesse doit se faire deux objectifs fondamentaux:
1. Faire tomber la dictature par la révolte populaire,
2. S’impliquer dans la restauration des institutions en créant les conditions de l’impunité.

Il ne peut y avoir révolution populaire sans réseau inter-iles et échanges des acteurs en présence locaux et de la diaspora.
Ce combat ne peut se gagner par une gestion isolée des forces du progrès.
Il s’agit de la politique et de ce fait, les politiciens doivent s’impliquer en acteurs et non en spectateurs. La jeunesse doit donc prendre acte des actions des politiciens, de leurs contributions dans la stratégie de mobilisation de masse.
Les étudiants, les hauts cadres de ce pays doivent se mouiller également.
Tous les hauts officiers de ce qui ressemble à une armée s’allient tous avec AZALI ou participent à l’effort vers la liberté et qu’aucune excuse ne soit possible car l’heure de faire un choix avec conviction est arrivée.
La jeunesse, lance de fer de la liberté doit prendre contact avec toutes les forces du peuple et d’agir en connaissance de cause.

Tous ceux qui se ressemblent s’assemblent et cette vision doit nous permettre de gommer les apprentis sorciers qui sont azalistes sans oser le dire.
Espérant la victoire sous peu du peuple, je vous prie de croire à l’assurance de mes salutations distinguées.

BEN ALI.

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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