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L’État critique des infrastructures routières aux Comores : Un danger permanent

 

Les Comores sont aux prises avec un problème persistant : la dégradation de l’infrastructure routière. Plus particulièrement à la Grande Comore, certaines routes sont presque impraticables, marquées par des bosses et des nids-de-poule, ce qui entraîne des accidents. Dans certaines régions de Ngazidja, les routes sont tellement cabossées qu’il faut une endurance considérable pour les emprunter.

Les gouvernements précédents avaient promis de grands projets d’axes routiers et certains bitumages ont eu lieu. Cependant, quelques années plus tard, ces routes sont déjà marquées par des nids-de-poule, suggérant que la qualité du bitumage était insuffisante.

Les routes impraticables nécessitent des aménagements urgents pour éviter de mettre en danger la vie des usagers. Par exemple, la route Bahani-Hamahame, réhabilitée avant les élections de 2016, rend la circulation des biens et des personnes difficile.

Les citoyens, comme Mohamed Ahamada et Ibrahim Mbaé, expriment leur frustration face à cette situation qui entrave leur vie sociale et professionnelle. Malgré cela, le gouvernement actuel semble prendre des mesures pour améliorer les axes routiers nationaux, notamment la route Bahani-Mitsamihuli à Ngazidja, financée par le fonds saoudien et la Banque africaine de développement.

ANTUF Chaharane 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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