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« Les femmes comoriennes en prison au Kenya n’ont pas de pièces d’identité »

L’avocat Said Larifou s’est rendu au Kenya pour aider plusieurs personnes sui ont voulu se rendre en France et qui ont été arrêtées. Plusieurs femmes se retrouvent actuellement en prison.

Selon l’avocat, ces femmes comoriennes n’ont ni passeport ni pièces d’identité voilà pourquoi elles sont en prison après un jugement en faveur de leur libération.

Leurs pièces d’identité seraient aux mains des passeurs. La justice ne peut pas libérer des personnes sans identité dans la nature comme l’explique l’avocat.

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3 commentaires sur « Les femmes comoriennes en prison au Kenya n’ont pas de pièces d’identité »

  1. C’est déjà clair:ces femmes sont déjà comoriennes;on leur a (considerons-le)volé leurs passe-ports.

    Ce ne sont pas des terroristes;on doit les traiter comme des pêcheurs perdus à la mer et retrouvés.
    C’est donc un geste humanitaire que le Kenya doit faire auprès des Comores.

    Ces femmes n’ont pas commis un delit,pour pouvoir chercher à vivre.On doit leur attrbuer le droit de vivre.C’est un Droit international.

  2. Maskini , c’ est malheureux tout ça . » Les Comoriens doivent fuir leur pays par obligation », pour des raison que nous connaissons mais par hypocrisie , mauvaise foi et jalousie, ces mêmes Comoriens veulent tirer les Mahorais dans leur malheur et leur dictature enfin de les humilier, les torturer comme auparavant .
    Mais les autorités Comoriens hyper-doué en corruption peuvent dénouer cette crise facilement en achetant le justice keynésienne et libérer ses pauvres femmes .
    Deuxièmement option, comme l’union de Comores est l’unique Etat dans ce monde qui vendait des passeports à des apatrides et des terroristes , il peut fabriquer et fournir rapidement des passeports à ces femmes avec des faux dates de naissances comme d’ habitude pour qu’elles soient des mineurs et donc ne peuvent pas être enfermer en prison puisque le Kenya a signé la convention internationale de droit de mineures . Tout est possible dans l’ union bananier de Comores pour contourner les lois de n’importe quel pays de cette planète terre et meme dans la planète Mars .

    • En réponse à Allaoui dont j’ai fait l’effort de comprendre son message, quand on est Français et on ne maîtrise pas sa langue, il est conseillé d’éviter de prendre la parole en public. Quand on se veut donneur de leçon, il faut bien choisir le canal de communication à utiliser!!!
      « autorités Comoriens », « hyper-doué », « le justice »…

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