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Les Comores réaffirment leur engagement pour un système alimentaire durable à l’UNFSS+4

La capitale éthiopienne accueille depuis ce matin la Deuxième Conférence de Suivi du Sommet des Nations Unies sur les Systèmes Alimentaires (UNFSS+4). L’événement réunit plusieurs chefs d’État, responsables gouvernementaux et représentants d’organisations internationales, venus débattre des défis liés à la sécurité alimentaire mondiale et à la transformation durable des systèmes alimentaires.

Parmi les personnalités présentes figurent les présidents de l’Union des Comores, de la Somalie et du Kenya, ainsi que le Premier ministre éthiopien et la Première ministre italienne. La vice-présidente de l’Ouganda et le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres (en visioconférence), participent également aux échanges.

Le président de l’Union des Comores a pris la parole lors de la séance d’ouverture pour affirmer la volonté de son pays de s’inscrire dans une dynamique de transformation profonde de son système alimentaire. Dans une allocution centrée sur la souveraineté alimentaire, il a déclaré que cette transformation constitue une exigence de « dignité, de justice et de souveraineté ».

Le chef de l’État comorien a mis en avant les progrès réalisés depuis 2021, citant notamment la mise en place de centres de développement économique ruraux, le renforcement de la santé animale, l’amélioration de la sécurité sanitaire, l’accès élargi aux intrants agricoles, ainsi que l’implication croissante des jeunes et des femmes dans les filières agricoles.

Ces efforts, selon lui, s’inscrivent dans la stratégie nationale du Plan Comores Émergent à l’horizon 2030, qui vise une agriculture plus résiliente, inclusive et durable.

Au-delà des initiatives nationales, il a appelé à une solidarité internationale renforcée, particulièrement envers les petits États insulaires, qu’il a qualifiés de « premières victimes du changement climatique ». Il a souligné que la faim dans le monde pouvait être éradiquée à condition d’y consacrer les efforts et les ressources nécessaires. 
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En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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