Tribune: Les opposants au régime d’Azali Assoumani rêvent de voir ce qui s’est passé en Guinée se produire aux Comores mais c’est un rêve qui ne se réalisera jamais. Et il y a plusieurs raisons.
Les opposants virtuels sur les réseaux sociaux et le gouvernement fantoche d’exil jubilent bêtement. Aux Comores il n’y a pas de force spéciale, il n’y a pas de haut gradé formé qui a des valeurs républicaines. Comme les politiciens, les militaires pensent d’abord à leur ventre, à leur famille et à trouver les moyens de se remplir les poches. Ils sont comme nos corrompus de politiciens réfugiés en France et d’autres pays. Mais posez vous la question pourquoi les jeunes Mabedja ont réussi à faire descendre des jeunes à la rue alors que l’opposition fantoche n’y arrive pas ?
Un des leaders de l’opposition Sambi est en prison et ne sera jamais jugé jusqu’à ce qu’il meurt comme un chien dans un trou alors que personne n’ose bouger le petit doigt. Tout le monde sait qu’il s’agit d’une injustice, le parti Juwa le sait, les anjouanais le savent et ses enfants également.
Alors les opposants virtuels, le pays est dans la stabilité et la paix imposées, la population accepte la situation. Il est temps d’oublier les coups d’état. Il n’est pas interdit de rêver même dans une dictature soutenue par la population sadomasochiste.
SA. M
les comores n ont pas des militaires,y a des gens qu ils ont de difficultés à trouver de nourriture pour eux et leurs familles ceux sont des mandiants