Nairobi, Kenya – Alors que le Président AZALI participait au sommet des Chefs d’État et de Gouvernement de l’IDA 21 à Nairobi, son pays, les Comores, étaient en proie à des inondations dévastatrices. Cette coïncidence a soulevé des critiques quant à l’absence du Président lors d’une crise nationale urgente.
Pendant que les délégués se réunissaient pour discuter de la reconstitution des financements de l’IDA21, les Comores faisaient face à des pluies diluviennes et des inondations meurtrières. Les habitants étaient confrontés à des pertes de vies humaines, des dégâts matériels considérables et une détresse généralisée, sans la présence rassurante de leur dirigeant.
Bien que le Président AZALI ait souligné les défis climatiques rencontrés par les États Insulaires en Développement dans son discours à Nairobi, certains ont critiqué le fait qu’il aurait pu mieux servir les intérêts de son pays en restant sur place pour gérer la crise en cours. Son absence au moment où ses concitoyens avaient le plus besoin de leadership a suscité des questionnements quant à ses priorités et à son engagement envers la population comorienne.
Alors que les Comores continuent de lutter contre les ravages des inondations, l’absence du Président soulève des préoccupations quant à la capacité du gouvernement à répondre efficacement aux crises internes. Les citoyens expriment leur déception et leur frustration face à ce qu’ils perçoivent comme un manque de sensibilité et de responsabilité de la part de leur leader.
IBM
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