
Emprisonné illégalement depuis 2018, l’ancien président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi est cloué dans un prison annexe à Voidjou sans jugement.
A l’occasion de ses 1000 malheureux jours passés entre les 4 murs, il a déclaré dans un entretien accordé à nos confrères de La gazette des Comores que » ce dossier est au point mort » et qu’il croit que les autorités ne voulaient que trouver un moyen pour emprisonner son client. Pour rappel, le président d’honneur du grand parti politique des Comores avaient bénéficié auprès du juge en charge de son dossier une autorisation d’aller faire des soins médicaux à l’extérieur, mais le gouvernement l’a empêché de sortir.
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