
Mbeni s’est réveillée toujours dans une atmosphère morose, car l’arméé nationale n’a toujours pas quitté le lieu. Elle prétend ce matin vouloir «autoriser la libre circulation des biens et des personnes».
Sauf qu’en vérité, l’armée est à bout de souffle. Les militaires croient tendre alors ce piège de «libre circulation» pour pousser les gens à la rue et mieux les arrêter.
Rtmc
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