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La Police nationale tend la main à la communauté malgache installée aux Comores

La communauté malgache installée aux Comores a eu l’occasion, hier, de dialoguer directement avec les autorités nationales lors d’une rencontre organisée autour des questions d’immigration et de justice. Cette initiative, placée sous le signe de la concertation et du respect mutuel, visait à améliorer l’accompagnement administratif et à consolider la cohésion entre les communautés vivant sur le territoire.

La séance, qui a réuni des représentants de la communauté malgache et les services de l’État, a été marquée par la présence du Commandant en chef de la Surveillance du Territoire, M. Abidina Bourhani. Ce dernier, représentant le Directeur général adjoint, a rappelé l’importance du dialogue permanent pour instaurer un climat de confiance entre les résidents étrangers et les institutions comoriennes.

Les échanges ont permis d’aborder des thèmes centraux : les droits et devoirs des ressortissants étrangers, les mécanismes de coopération entre communautés et autorités, ainsi que les dispositifs existants pour assurer une meilleure intégration dans le respect des lois de l’Union des Comores.

Au-delà des aspects administratifs, cette rencontre a mis en lumière la volonté partagée de bâtir une société plus inclusive, où les différences deviennent des atouts et non des sources de tensions. Les responsables ont insisté sur la nécessité de maintenir un climat serein, propice à la cohabitation pacifique et au développement commun.

Dans un communiqué, la Police nationale a réaffirmé son engagement à travailler main dans la main avec toutes les communautés présentes sur le territoire comorien. Elle a souligné que la sécurité, la stabilité et le respect des lois sont des objectifs partagés qui ne peuvent être atteints qu’à travers la coopération et le dialogue continu.

IBM

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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