En ce moment

La Chine équipe la sécurité civile en matériels informatiques et roulants

L’ambassade de Chine en Union des Comores a octroyé du matériel à la direction générale de la sécurité civile (DGSC) constitués de motos et des kits informatiques. Cela permettra à cette institution d’améliorer et faciliter son travail sur le terrain mais aussi dans le domaine informatique.

Ce lundi 14 novembre a eu lieu une cérémonie de remise de matériel informatique et des motos à la Direction Générale de la Sécurité Civile (DGSC). Il s’agit d’un don de 5 ordinateurs fixes, 2 ordinateurs portables, 1 Scanner et 5 motos. Cela permettra à cette institution d’améliorer et faciliter son travail au quotidien. Le directeur général de la DGSC,  le colonel Takfine Ahmed a d’abord rappelé les liens historiques qui lient nos deux pays, avant de montrer que c’est l’un des premiers pays à reconnaître l’indépendance des Comores dans ses frontières naturelles et à nouer des relations diplomatiques avec notre pays en installant sa première ambassade à Moroni. « Dans l’avenir, je souhaite voir cette coopération se renforcer dans les domaines de la formation du personnel et dans la fourniture de matériel et d’équipements destinés à accroître les capacités opérationnelles des unités », avance-t-il.

De son côté, le conseiller diplomatique chinois, Bing Hu qui a représenté l’ambassadeur de la République Populaire de Chine lors de cette cérémonie a affiché la disponibilité de son pays à accompagner les Comores. Avec les changements climatiques, l’archipel des Comores, Petit Etat Insulaire en Développement, est exposé à de nombreux risques naturels, dont les éruptions volcaniques, tremblements de terre, tsunamis, inondations, pour ne pas citer que ceux-là. C’est ainsi, que le diplomate a promis de faire profiter aux agents de la DGSC de la grande expertise de son pays dans le domaine de la gestion des risques de catastrophe.

Nassuf Ben Amad / LGDC 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

Soyez le premier à réagir

Réagissez à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


error: Content is protected !!