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Jeux des Îles 2027 : La Chine signe pour la construction d’un village olympique, d’une piscine, d’un gymnase et d’une zone commerciale à Mitsoudjé

 

Les Comores ont devant elles un défi de taille : préparer les infrastructures essentielles pour accueillir les Jeux des îles de l’Océan Indien (JIOI) en 2027. Avec seulement 24 mois pour se préparer, les autorités comoriennes sont à pied d’œuvre pour mobiliser les ressources nécessaires à l’organisation de cet événement sportif d’envergure.

Lors des récentes discussions à Moroni avec le Comité International des Jeux (CIJ), les Comores ont proposé d’inclure dix-sept disciplines, soit le même nombre que celles présentées par Madagascar lors des JIOI 2023. Parmi les sports proposés figurent le Football, l’Athlétisme, le Badminton, le Basketball, la Boxe, le Cyclisme, l’Haltérophilie, le Handball, le Judo, le Karaté, la Lutte, la Natation, la Pétanque, le Taekwondo, le Tennis, le Tennis de table et le Volley-ball.

Cependant, la question des infrastructures reste un défi majeur pour les Comores. Actuellement, le pays ne dispose pas des installations nécessaires pour accueillir cet événement de grande envergure. Face à ce manque, la Chine s’est engagée à accompagner les Comores dans ce projet ambitieux. Parmi les projets en cours, on compte la construction d’un village olympique de 2 000 places, d’une piscine olympique de 1 000 places, ainsi que d’une zone verte, d’un parking et d’une zone commerciale.

Ces infrastructures sportives, financées par la Chine, seront implantées dans la ville de Mitsoudjé, située dans la région de Hambou. Outre le village olympique, un gymnase sera également construit. Lors de la cérémonie de signature de ce projet d’aide aux infrastructures, qui s’est tenue le 14 août 2024 à Mitsoudjé en présence de l’ambassadeur de Chine, le secrétaire général du gouvernement a souligné que ces installations ne serviront pas uniquement aux Jeux des îles. Elles contribueront également à l’émergence d’une nouvelle génération de sportifs comoriens, renforçant ainsi l’héritage sportif du pays.

ANTUF Chaharane 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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