Tribune :
Primo : je ne veux pas parler de la politique étatique car ça ne me dit rien et ça ne m’apporte rien dans ma vie. Laissons les passionnés qui ont des affections sentimentales et émotionelles sur la politique pour dénouer et éclaircir cette situation. Ma politique est de voir l’islam gagner du terrain à travers le monde et réussir dans l’au-delà (Al’qiamat).
Secondo : je laisse à part le métier du journalisme, mais pour moi Oubeidillah est un grand frère, un homme humble avec une extrême modestie. Il me donne des conseils pour réussir dans ma vie, il me donne le courage de bien finir mes études, il me donne toujours l’espoir d’avoir un avenir meilleur, en un moment donné je dois assumer qu’il est humain, c’est une bonne personne.
Lui voir avec sa femme Amina Ali dans cette situation, mon etat d’esprit est attristé. Voir sa femme face au pick-up de la force de l’ordre pour reclamer les droits de son mari en ratifiant : »cest mon devoir de soutenir mon mari », « vous n’avez pas honte de l’arrêter alors que nous sommes dans un mois sacré ». Ce sont des phrases très touchantes au sein d’une femme qui a besoin d’être à côté de son mari 24h/24h. J’ai une grosse pensée sur vous deux et une mention spéciale à Amina Ali qui n’a jamais perdu le courage.
En un mot, je n’ai plus les mots, ces derniers m’échappent, mais je suis de tout cœur avec vous, mon cœur saigne pour mon grand frère Oubeidillah Mchangama. Avec toi partout où tu iras !
Abdouroihman Mohamed Abdoulanziz chroniqueur sportif De Facebook Fm
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