Il le dit sans sourciller: Les opposants « n’ont pas d’idée »
Notre jeune juriste qui a retourné sa veste pour prêter allégeance au pouvoir aussitôt rentré au Comores ne s’en lasse pas de s’en prendre à l’opposition dans l’espoir de se frayer une visibilité et bien sûr une place au sein du régime soutenu par son père.
Tout commence à la suite du désistement de Nourdine Mbae, hostile au régime, à un débat avec Félix, soutien du régime, chez Ortega. Pour le premier qui qui réside à Paris, estime que « les conditions d’un débat face à un combat politique résultent d’une volonté de s’entretenir dans un dessein d’améliorer, de corriger et non d’un renvoi de propos de part et d’autre pour partir , laissant le vol et la dictature dans le même état. »
Mais le jeune juriste ne l’entend pas de cette oreille. Pour lui, le revirement de Nourdine Mbae reflète le manque d’idée dans l’opposition. D’une appréciation personnelle, il en fait tout un jugement.
« Un débat avec l’opposition ???
C’est une perte de temps !
Pour un débat, il faut avoir des idées. Chose qu’ils n’en ont pas » écrit Bacar Antuf. « À part le dénigrement, les insultes et la diffamation, quoi d’autres ??? RIEN.
Le désistement de Nourdine Mbae est un parfait exemple, comme l’est aussi sa publication d’information de son désistement » devrait-il finir.
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