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Gendarmerie : 31 nouveaux Officiers de police judiciaire prêtent serment

Après trois mois de formation intensive, 31 stagiaires, dont 30 militaires et une psychologue de l’Armée nationale de développement (AND), ont officiellement terminé leur formation d’Officier de police judiciaire (OPJ). La cérémonie de clôture s’est tenue ce mardi 25 février à l’École nationale des forces armées et de la gendarmerie (ENFAG), en présence de plusieurs hauts responsables, dont le directeur de cabinet chargé de la Défense, Youssoufa Mohamed Ali, les ministres de l’Intérieur et de la Justice, ainsi que le chef d’État-major et le procureur de la République.

Le commandant de la gendarmerie, le colonel Tachfine Ahmed, a rendu hommage aux nouveaux OPJ pour leur engagement et leur rigueur. « Cette formation vous a permis de consolider vos connaissances en droit pénal général et spécial, ainsi qu’en procédure pénale, des bases indispensables à l’exercice de la police judiciaire », a-t-il déclaré. Il a également insisté sur l’importance de leur rôle dans la conduite des enquêtes et la recherche des auteurs d’infractions, les appelant à faire preuve d’exemplarité et de professionnalisme.

La réussite de ce programme repose sur un partenariat solide avec plusieurs pays, dont le Maroc, la France, les Émirats arabes unis, les États-Unis et la Chine, qui ont apporté leur expertise en matière de formation et de sécurité. Le directeur de cabinet chargé de la Défense a particulièrement salué l’apport du colonel Nabil, coopérant militaire marocain, pour son rôle clé dans la formation.

En marge de la cérémonie, l’AND et l’Université des Comores ont signé une convention de partenariat, visant à renforcer la collaboration dans la formation des forces de sécurité. La cérémonie s’est conclue par la prestation de serment des nouveaux OPJ devant la Cour d’appel, marquant leur engagement officiel au service de la justice.


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En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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