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Fêtes de fin d’année : 325 agents sur le terrain, tolérance zéro pour les fauteurs de troubles

À l’approche du réveillon et du passage à la nouvelle année, les autorités comoriennes placent la sécurité des citoyens au cœur des priorités. Ce 31 décembre 2025, le ministre de l’Intérieur, Mohamed Ahmada Assoumani, s’est rendu au commissariat central de Moroni afin de s’assurer du dispositif mis en place par la police nationale pour encadrer les festivités sur l’ensemble du territoire.

Au terme de cette visite, le ministre a annoncé la mobilisation de 325 agents, déployés dans les principales villes mais aussi dans les zones rurales, souvent plus difficiles d’accès. L’objectif est clair, prévenir tout trouble à l’ordre public, intervenir rapidement en cas d’incident et rassurer la population durant cette période de forte affluence.

Tout en saluant l’engagement quotidien des forces de l’ordre, Mohamed Ahmada Assoumani a adressé ses vœux de santé et de prospérité au peuple comorien pour l’année 2026. Il a également exprimé sa compassion envers la famille de l’agent de police de Mohéli, décédé il y a trois jours sur l’île de Mayotte, rappelant la dimension humaine et parfois tragique du métier.

Le ministre a insisté sur la responsabilité partagée entre l’État et les citoyens. Chacun, a-t-il rappelé, doit pouvoir célébrer dans la joie en famille ou entre amis  mais dans le strict respect de l’ordre public, des lois et des coutumes du pays. Les forces de l’ordre renforceront les patrouilles, particulièrement la nuit, et resteront vigilantes face aux comportements à risque d’ivresse sur la voie publique, de bagarres, ou d’excès de vitesse.

Toute personne qui troublera la quiétude des festivités sera interpellée et placée en garde à vue, a conclu le ministre, appelant avant tout à la prudence, à la responsabilité collective et à un passage à la nouvelle année dans la paix.

IBM

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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