Selon un contrôle fait par la cour des comptes, plus de 80 millions sont disparus. Cet argent n’est visible nulle part sur les documents d’archives des services de la comptabilité.
L’agent comptable n’arrive plus à justifier ces sommes d’argent. Pire, des proches du directeur général sont autorisés à réaliser des opérations de prêt sans pour autant avoir remboursé des prêts qu’ils ont effectué précédemment. 13 millions de francs comoriens est l’argent non remboursé jusqu’aujourd’hui.
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