En ce moment

Des machines à coudre pour l’autonomisation : le palais de Mrodjou et la Chine soutiennent les femmes des Comores

Le Palais de Mrodjou, a orchestré une série d’événements philanthropiques, témoignant de l’engagement à renforcer l’autonomisation des femmes et à améliorer l’infrastructure locale. Le 24 août dernier, le palais a accueilli deux cérémonies distinctes, en présence d’éminentes personnalités et de dignitaires de Ngazidja.

La première cérémonie a été marquée par la distribution de machines à coudre aux associations féminines de Midjendjeni et Milembeni, mettant en exergue l’importance de l’autonomisation des femmes dans la société comorienne. Cette initiative reflète le proverbe chinois « il vaut mieux apprendre à pêcher à quelqu’un plutôt que de lui offrir du poisson », comme l’a souligné Hu Bing, conseiller politique de l’ambassade de Chine aux Comores. Il a également rappelé les liens d’amitié profonds entre la Chine et les Comores, mettant en avant la coopération continue entre les deux nations.

La seconde cérémonie a vu la remise des actes de donation de terrains destinés à abriter des installations d’adduction d’eau. Ce projet ambitieux, fruit d’une collaboration décentralisée entre le gouvernorat de Ngazidja et la Communauté urbaine de Dunkerque, vise à fournir de l’eau potable à six villages de la commune d’Itsahid, dans la région du Badjini Est. Les villages de Chindini, Dzahadjou, Midjendjeni, Ndzouani, Ouropveni et Sima Mboini bénéficieront de ces installations, qui sont une lueur d’espoir pour plus de 10 000 habitants.

La gouverneure de l’île de Ngazidja, Mhoudine Sitti Farouanta, a exprimé sa gratitude envers la Chine pour son soutien précieux. Elle a salué la Chine et son président pour leur engagement en faveur des Comores, soulignant le rôle essentiel de cette amitié dans les relations étroites entre les États. Elle a également adressé ses remerciements au gouvernement comorien pour son soutien continu aux projets locaux, témoignant ainsi de la collaboration constructive au niveau national.

Misbah Said

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

Soyez le premier à réagir

Réagissez à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


error: Content is protected !!